Charles Pasi, fort d'un
live sur le plateau de "Taratata" et de deux premières parties
sur les concerts de Jean-Louis Aubert au Zénith de Paris,
poursuit sa progression, encore plus armé qu'auparavant, gagnant
chaque jour un peu plus en popularité.
Le jeune
homme à la gueule d'ange, et à la voix en or, joue comme un
Dieu de son instrument favori : l'harmonica. Charles Pasi
électrise la salle de son feeling hors-pair.
L'artiste
franco-italien a récemment remporté le concours Zimbalam,
décrochant ainsi la distribution numérique de son premier
EP "Uncaged", chez Believe (incluant une campagne de promotion
et marketing d'une valeur de 10 000 €).
Après
un premier album salué par la critique ("Mainly Blue", finaliste
de l'International Memphis Blues Festival en 2006), Charles
a travaillé avec Carla Bruni (qu'il a par ailleurs accompagné
en tournée en tant que guitariste), Antoine Holler, K-Led
Ba'sam, Siân Pottok (révélée au sein de "Nouvelle Star") ou
Joyce Jonathan. Il a aussi participé aux B.O des films "Actrices"
de Valeria Bruni-Tedeschi et "Cinéman" de Yann Moix. Influencé
par les grands du jazz et du blues, il retient dans son panthéon
Ray Charles, Duke Ellington, Chet Baker, Otis Redding, Janis
Joplin, Django Reinhardt, mais aussi Piazzola ou encore Brassens.
Son second album, "Uncaged" (actuellement disponible), qui
contient notamment une reprise bien sentie du "Dream A Little
Of Me" de Ozzie Nelson, ainsi que son sublime titre original
"Farewell My Love" au featuring de Archie Shepp (qui ferait
un excellent second single), est introduit par un clip réalisé
par Louis Garel sur le premier extrait, "Better With Butter".